Egalité, Humanisme et Universalisme
Le 14 juillet 1953, à l’issue d’une manifestation populaire qui s’achève place de la Nation, l’imposant et pacifique cortège des militants algériens du MTLD (Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques), qui ferme la marche, est brutalement attaqué par la police parisienne. Alors que les […]
Communiqués EvenementsC’est une séance exceptionnelle qui vous est proposée Dimanche 14 mai 2023 à 11h : « Les balles du 14 juillet », documentaire inédit de Daniel Kupferstein, séance animée par la Ligue des droits de l’Homme. Séance suivie d’un débat avec le réalisateur Daniel Kupferstein et l’historien Alain […]
CommuniquésDernière mise à jour: juin 2022 Bien que des statistiques officielles « ne nous parviennent pas », pour ne pas dire inexistantes (au moins au grand public), des associations (comme réseau Wassyla https://https://www.facebook.com/ReseauWassila/ et le site https://feminicides-dz.com/ ) recensent tant bien que mal des données qui en […]
Combat des femmesDernière mise à jour: juin 2022
Bien que des statistiques officielles « ne nous parviennent pas », pour ne pas dire inexistantes (au moins au grand public), des associations (comme réseau Wassyla https://https://www.facebook.com/ReseauWassila/ et le site https://feminicides-dz.com/ ) recensent tant bien que mal des données qui en disent long sur le malheur que subit la femme en Algérie d’un coté mais aussi, et sans aucun doute aucun, l’impunité des agresseurs.
L’absence de statistiques questionne, non seulement du point de vue sécuritaire, sociétal, mais aussi, et surtout politique.
Pourquoi cache-t-on la femme Algérienne? Pourquoi doit-elle vivre et mourir en silence?
Algeria Democracy
Quel est l’outil juridique crée pour protéger la femme Algérienne?
Algeria Democracy
Voici un décompte macabre des féminicides en Algérie à partir de 2019.
Ces chiffre ne recensent pas les femmes se trouvant entre la vie et la mort ou avec des séquelles importantes, suite à une tentative d’assassinat.
Faire défiler la flèche de droite pour remonter jusqu’à 2022.
Bien que la mise en forme soit faite par nos soins, toutes les données viennent de: https://feminicides-dz.com/
En direct du cabaret sauvage : 60 ans après Le Hirak/ Tankra : La Société en Ébullition. ; Égalité Femmes/Hommes Événement organisé par Mediapart et l’Association : nom de la mémoire. Mediapart @aunomdelamemoire Cabaret Sauvage Intervenant.es : Soad BABA AÏSSA, Amara BENAMARA Animée par : […]
EvenementsEn direct du cabaret sauvage : 60 ans après Le Hirak/ Tankra : La Société en Ébullition. ; Égalité Femmes/Hommes Événement organisé par Mediapart et l’Association : nom de la mémoire. Mediapart @aunomdelamemoire Cabaret Sauvage Intervenant.es : Soad BABA AÏSSA, Amara BENAMARA Animée par : Samia MESSAOUDI
https://www.facebook.com/algeriademocracyasso https://algeriademocracy.com/ https://twitter.com/algeriademo
Place de la République le 2 juillet 2022 commémoration du 60ème anniversaire de l’indépendance de l’Algérie. 1er table ronde femmes et révolution pour l’égalité et l’histoire Invitées Monique Dental et Soad Baba Aissa Animé par Karim Ouachek 2eme table ronde Détenu.es politiques invités Karim OUACHEK […]
EvenementsPlace de la République le 2 juillet 2022 commémoration du 60ème anniversaire de l’indépendance de l’Algérie.
1er table ronde femmes et révolution pour l’égalité et l’histoire Invitées Monique Dental et Soad Baba Aissa Animé par Karim Ouachek
2eme table ronde Détenu.es politiques invités Karim OUACHEK et Mouloud BOUGHEMAR Animé par Mokrane ASSAM Lecture texte Politique Farida AÏT Lecture texte Présentation d’identité Amara BENAMARA
https://www.facebook.com/algeriademocracyasso
https://twitter.com/algeriademo
https://youtube.com/playlist?list=PLRkb-MBzjecm61o1Il7gCQ4e52FvfZSsL
Colloque « Algérie 1962-2022, Trajectoires d’une nation et d’une société », IFG — 23-25 juin 2022, Panthéon-Sorbonne Paris Algérie 1962-2022, https://iismm.hypotheses.org/66496 Comité d’ organisation Ali Bensaad, Mouloud Boumghar, Fatiha Talahite Préambule En arrachant son indépendance il y’a 60 ans, l’Algérie s’est trouvée projetée dans une […]
EvenementsColloque « Algérie 1962-2022, Trajectoires d’une nation et d’une société », IFG — 23-25 juin 2022, Panthéon-Sorbonne Paris Algérie 1962-2022,
https://iismm.hypotheses.org/66496
Comité d’ organisation Ali Bensaad, Mouloud Boumghar, Fatiha Talahite Préambule En arrachant son indépendance il y’a 60 ans, l’Algérie s’est trouvée projetée dans une toute autre dimension que celle où la maintenait le carcan colonial, transformant radicalement, et de façon incomparable, le vécu des Algériens et des Algériennes et ouvrant à leur destin un champ de possibles qui leur étaient jusque- là inaccessibles.
Depuis et en ce soixantième anniversaire de l’indépendance, ce seront trois pleines générations successives d’Algériens, c’est-à-dire l’écrasante majorité de sa population, plus de 90%, qui auront vécu, depuis leur naissance, dans un pays indépendant, et pour le reste, l’essentiel de leur vie.
La trajectoire indépendante du pays est dorénavant ancrée et inscrite dans la densité du temps et, depuis 60 ans, c’est comme pays indépendant que l’Algérie fait face à son destin et le construit.
Aussi, c’est à l’Algérie indépendante et à ses trajectoires comme nation et comme société indépendantes que choisit de s’intéresser le colloque. S’interroger sur ce parcours n’est pas interroger l’indépendance, réalité irréversible et donnée intangible.
C’est s’interroger sur un pays et une société, indépendants comme d’autres, parmi d’autres, et responsables de leur destin y compris sur la manière d’assumer et de faire face au passif des héritages aussi lourds et inhibants soient-ils.
Cette trajectoire indépendante sur le temps long de la traversée de trois générations a tissé une temporalité suffisamment épaisse pour faire histoire. Une histoire avec, maintenant, une perspective dont la profondeur acquise appelle à l’interrogation et au débat et qui, tout à la fois, les autorise et les commande. C’est cette histoire, en train de s’écrire depuis maintenant 60 ans, qui détermine pour l’essentiel les dynamiques qui travaillent la société algérienne. Une histoire qui, même si elle en hérite des éléments, transcende le seul moment colonial et son pendant de guerre de libération, et ne saurait y être enfermée. Figer la trajectoire du pays dans ce moment participe du déni de la complexification de la société algérienne et surtout d’une volonté de négation des dynamiques et évolutions qui portent cette société vers un désir d’approfondissement de son émancipation S’interroger sur ce parcours , c’est ce que, précédant la réflexion intellectuelle et y invitant, ne cesse de faire la société algérienne elle-même depuis les premières années de l’indépendance. Elle le fait y compris en réprouvant et dénonçant le cours pris par certaines trajectoires de ce parcours et même en s’interposant contre certaines de ses bifurcations régressives comme le fait le Hirak depuis plus de 3 ans maintenant.
Celui-ci, au-delà de ses manifestations protestataires, a ouvert, de fait, un grand chantier d’interrogation et d’élaboration, toujours en cours, d’un regard critique, en acte, de certaines des principales orientations qui ont été imprimées à ce parcours. Interrogeant et contestant les pratiques autoritaires et prédatrices du régime politique qui ont contrarié voire combattu tout autant l’émergence d’une citoyenneté que celle d’un développement économique et social, les débats au sein du Hirak ont également fait émerger des questionnements qui travaillent la société de son intérieur.
La question sociale, celle du patriarcat, la condition des femmes ou la place du religieux dans l’ordre social et politique, ou la question de la diversité linguistique et culturelle, sont autant de questions qui conditionnent le devenir du pays. Il est nécessaire et vital que soient portés une réflexion et un regard critique sur cette trajectoire de 60 ans non pas pour relativiser l’aspiration à la souveraineté nationale qui a porté le mouvement d’indépendance mais au contraire pour la consolider en lui donnant une nouvelle perspective, celle de son prolongement par la souveraineté citoyenne. https://iismm.hypotheses.org/66496
Version PDF, cliquer ici: https://algeriademocracy.com/wp-content/uploads/2022/06/Statuts-Algeria-Democracy-2022-03-27.pdf Articles des statuts Article 1 : Nom Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association à but non lucratif régie par la loi du 1er Juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre « […]
CommuniquésVersion PDF, cliquer ici: https://algeriademocracy.com/wp-content/uploads/2022/06/Statuts-Algeria-Democracy-2022-03-27.pdf
Article 1 : Nom
Il est fondé entre les adhérents aux présents statuts une association à but non lucratif régie par la loi du 1er Juillet 1901 et le décret du 16 août 1901, ayant pour titre « Algeria Democracy »
Article 2 : Objet
L’association s’inscrit également dans les luttes pour le droit des minorités sans discrimination de genre.
L’association a également pour objet la promotion de l’enseignement de la langue Algérienne (DARRIDJA) et de la langue Amazigh : langue nationale et officielle, et la reconnaissance pluriculturelle du peuple Algérien dans toutes ses composantes, ainsi que l’enseignement de l’histoire Algérienne dans toute sa richesse et de ses dimensions multiples.
Article 3 : Moyens d’action
Article 4 : Siège social
Le siège social est fixé à : 77120 Coulommiers.
Il pourra être transféré par simple décision du Bureau et ratification de l’Assemblée générale, si nécessaire.
Article 5 : Durée
La durée de l’association est illimitée
Article 6 : Adhésion
Pour faire partie de l’association, la qualité de membre adhérent ne peut s’acquérir qu’après versement de la cotisation annuelle, et après avoir pris connaissance du règlement et validé par chaque membre à son adhésion.
Article 7 :
La cotisation est fixée annuellement et son montant peut être revu à l’occasion des Assemblées Générales
Article 8 :
La qualité de membre se perd par :
Article 9 : Les ressources de l’association comprennent :
Article 10 :
L’association est administrée par un bureau composé d’au moins deux membres adhérents, élus pour 24 mois par l’Assemblée Générale et rééligibles. Le Bureau choisit parmi ses membres un Président et un trésorier. Les décisions sont prises à la majorité.
Article 11 :
L’assemblée Générale comprend tous les membres de l’association et se réunit chaque année. La convocation est envoyée 15 jours avant la date prévue.
Article 12 :
En cas de dissolution prononcée par les deux tiers des membres présents à l’Assemblée Générale, deux liquidateurs choisis parmi les membres actifs sont nommés et l’actif, est dévolu, s’il y lieu, conformément à l’article 9 de la loi du 1er juillet 1901 et au décret du 16 aout 1901, selon les orientations fixées en Assemblée générale.
Fait le 27 mars 2022
Le président : ASSAM Mokrane | La trésorière : Soad Baba Aïssa | Secrétaire général : Amara Ben Amara |
VIDEO YOUTUBE TEXTE EN FRANCAIS TEXTE EN ANGLAIS TEXTE EN ARABE SIGNATAIRES VIDEO YOUTUBE Texte en Français Madame la Haut-Commissaire, Au cours des derniers mois, les autorités algériennes ont intensifié leurs manœuvres pour faire taire la dissidence pacifique et étouffer la société civile indépendante. Un […]
Communiqués EvenementsMadame la Haut-Commissaire,
Au cours des derniers mois, les autorités algériennes ont intensifié leurs manœuvres pour faire taire la dissidence pacifique et étouffer la société civile indépendante.
Un exemple de cette escalade est l’arrestation le 18 février du défenseur des droits humains Zaki Hannache, qui documente depuis 2019 les arrestations et les procès de personnes emprisonnées pour leur prise de parole ou leur activisme pacifique. Il est actuellement en détention provisoire pour une durée potentiellement longue, pour avoir prétendument fait « l’apologie du terrorisme » et pour quatre autres chefs d’accusation non fondés.
L’activisme civil et politique pacifique et le journalisme indépendant sont désormais criminalisés en Algérie comme jamais auparavant ces dernières années. Avant son arrestation, Zaki Hannache estimait que le nombre d’Algérien.nes emprison.nées pour avoir exercé pacifiquement leur liberté d’expression, de réunion et d’association avait atteint un nouveau record depuis 2019 (340 personnes au 9 février 2022).
Les tribunaux algériens ont statué en faveur de requête du gouvernement visant à suspendre un parti politique en janvier et à dissoudre un important groupe de défense des droits en octobre 2021. Au cours des deux derniers mois, Faleh Hammoudi, membre des bureaux exécutifs des organisations syndicales SNAPAP et CGATA et président de la section de la Ligue algérienne des droits de l’homme (LADDH) à Tlemcen, a été condamné à 3 ans de prison, en utilisant la fausse accusation de “gestion d’une organisation non enregistrée”, tandis que Fethi Ghares, coordinateur national du Mouvement démocratique et social (MDS), a été condamné à 2 ans de prison.
Un nombre croissant d’individus ont été poursuivis pour des accusations de terrorisme formulées de manière trop vague – parmi lesquels les journalistes Hassan Bouras, Mohamed Moloudj et Abdelkrim Zeghileche, les défenseurs des droits humains Zaki Hannache et Kamira Nait Sid, l’avocat Abderraouf Arslane, et Slimane Bouhafs, un réfugié algérien reconnu par les Nations Unies et retourné de force de Tunis.
Les procédures spéciales des Nations Unies ont de plus en plus et de manière constante exprimé leur inquiétude concernant les arrestations arbitraires et l’usage illégal de la force, les procès inéquitables, l’utilisation abusive des accusations de terrorisme et les formulations trop vagues dans la législation antiterroriste.
La situation en Algérie justifie une action urgente de la part du Conseil des Droits de l’Homme.
Le Conseil ne doit pas abandonner les Algérien.nes qui se battent pour la défense des droits fondamentaux.
Merci.
Madam High Commissioner,
In the last few months, Algerian authorities have escalated their tactics to silence peaceful dissent and suffocate independent civil society.
As one illustration of this escalation, authorities on 18 February arrested human rights defender Zaki Hannache, who has been documenting arrests and trials of people imprisoned for their peaceful speech or activism since 2019. He is now in pretrial detention for a potential long duration for allegedly “justifying terrorism” and four other unfounded charges.
Peaceful civil and political activism and independent journalism are now criminalised in Algeria as never before in recent years. Before his arrest, Zaki Hannache estimated that the number of Algerians imprisoned for the peaceful exercise of their freedom of expression, assembly and association had reached a new record since 2019 (340 as of 9 February 2022).
Algerian courts ruled in favour of government petitions to suspend a political party in January and to dissolve a prominent rights group in October 2021. In the last two months, Faleh Hammoudi, member of the executive bureaus of union organisations SNAPAP and CGATA and president of the section of the Algerian League for Human Rights (LADDH) in Tlemcen, was sentenced to 3 years in prison, including for “running an unregistered organisation”, while Fethi Ghares, national coordinator of the Democratic and Social Movement (MDS), was sentenced to 2 years of prison.
An increasing number of individuals have been prosecuted under broadly worded terrorism charges – among them journalists Hassan Bouras, Mohamed Moloudj and Abdelkrim Zeghileche, human rights defenders Zaki Hannache and Kamira Nait Sid, lawyer Abderraouf Arslane, and Slimane Bouhafs, an Algerian UN-recognized refugee forcibly returned from Tunis.
UN Special Procedures have consistently and increasingly raised concern about arbitrary arrests and unlawful use of force, unfair trials, the misuse of terrorism charges and the vague wording in counter terrorism legislation. The situation in Algeria warrants urgent action from the HRC.
The Council should not abandon Algerians struggling for their fundamental rights.
Thank you.
https://www.facebook.com/algeriademocracyassohttps://algeriademocracy.com/https://twitter.com/algeriademohttps://youtube.com/playlist?list=PLRkb-MBzjecm61o1Il7gCQ4e52FvfZSsL
EvenementsDébat après diffusion du film de Mathieu Rigouste : un seul héros, le peuple Nous remercions Nils Andersson et toutes les personnes qui sont intervenues, ainsi que le public. Co-organisation : Algeriademocracy , SNAPS et La Parole Errante https://www.facebook.com/algeriademocracyasso https://algeriademocracy.com/ https://twitter.com/algeriademo
EvenementsDébat après diffusion du film de Mathieu Rigouste : un seul héros, le peuple Nous remercions Nils Andersson et toutes les personnes qui sont intervenues, ainsi que le public.
Co-organisation : Algeriademocracy , SNAPS et La Parole Errante
SOURCE : https://unseulheroslepeuple.org/2020/11/27/un-seul-heros-le-peuple-nouvelle-diffusion-hiver2020/ Trois ans après la « Bataille d’Alger », le peuple prend sa revanche. Un site, un livre et un film sur les soulèvements de décembre 1960 en Algérie et la mise en échec de la contre-insurrection. Le projet Un Seul Héros Le Peuple repose […]
EvenementsSOURCE : https://unseulheroslepeuple.org/2020/11/27/un-seul-heros-le-peuple-nouvelle-diffusion-hiver2020/
Trois ans après la « Bataille d’Alger », le peuple prend sa revanche.
Un site, un livre et un film sur les soulèvements de décembre 1960 en Algérie et la mise en échec de la contre-insurrection.
Le projet Un Seul Héros Le Peuple repose sur une recherche socio-historique de 7 ans sur les manifestations populaires de décembre 1960 en Algérie, au cours desquelles le peuple algérien a pris lui-même en main sa libération.
Il s’agissait de réaliser un site internet,un livre et un film documentaire.
Nous avons réussi à aller au bout de cette première séquence.
Le site fonctionne.
Le livre est disponible en librairies et sur internet : http://www.pmneditions.com/?p=701
et le film est prêt. Voici la bande annonce/Trailer :
FILM : LE SILENCE DU FLEUVE de Agnès Denis et Mehdi Lallaoui et l’association au nom de la mémoire. Performance artistique de Sally Djeb , Youlia Neloubina +participants Lecture de poème : Moho Sahraoui poème de Sally Djeb Lecture de poèmes : Ghanima Ammour Achewicq […]
EvenementsFILM : LE SILENCE DU FLEUVE de Agnès Denis et Mehdi Lallaoui et l’association au nom de la mémoire.
Performance artistique de Sally Djeb , Youlia Neloubina +participants Lecture de poème : Moho Sahraoui poème de Sally Djeb
Lecture de poèmes : Ghanima Ammour Achewicq : chant traditionnel Kabyle : Djidji
Lecture de textes: Les Gilets Jaunes , PEPS Lecture de la préface de Ludivine Bantigny, du livre de Fabienne Serbah le Jeannic : les trentes Glorieuse Par Nina
Lettre à mon père : Amara Benamara
https://www.facebook.com/algeriademocracyasso
https://algeriademocracy.com/
https://twitter.com/algeriademo
https://youtube.com/playlist?list=PLRkb-MBzjecm61o1Il7gCQ4e52FvfZSsL