Egalité, Humanisme et Universalisme
Samedi 7 Oct à 20h, entrée du public 19h30: Dans les locaux de « Main d’œuvres », Salle « Star Trek » 1 Rue Charles Garnier, Saint-Ouen-sur-Seine Ce documentaire (52’), réalisé par Malik BOURKACHE et tourné en août 2022, traite du mode de vie simple, sobre et des valeurs […]
EvenementsPrise de Parole de Monique DENTAL : ITS et de Soad BABA AISSA : ALGERIADEMOCRACY lors de la commémoration en hommage aux victimes de la répression sanglante du 14 juillet 1953, Place de la Nation. La police a tué 7 manifestants : 6 Algériens militants […]
EvenementsSamedi 7 Oct à 20h, entrée du public 19h30: Dans les locaux de « Main d’œuvres », Salle « Star Trek » 1 Rue Charles Garnier, Saint-Ouen-sur-Seine Ce documentaire (52’), réalisé par Malik BOURKACHE et tourné en août 2022, traite du mode de vie simple, sobre et des valeurs […]
EvenementsCe documentaire (52’), réalisé par Malik BOURKACHE et tourné en août 2022, traite du mode de vie simple, sobre et des valeurs universelles des villages de Kabylie, à travers des portraits touchants des habitants du village d’Ait Ouaneche, son village. Un voyage au cœur de « sa maison »
L’Association “Algeria Democracy” en collaboration avec “mains d’œuvres”, diffuse un documentaire AXXAM-IW (extrait ici) suivi d’un échange avec le public.
En présence du réalisateur Malik Bourkache (Lien Instagram)
ATTENTION il faut réserver pour y assister, via le site Hello Asso :
https://www.helloasso.com/associations/association-algeria-democracy/evenements/axxam-iw
Prise de Parole de Monique DENTAL : ITS et de Soad BABA AISSA : ALGERIADEMOCRACY lors de la commémoration en hommage aux victimes de la répression sanglante du 14 juillet 1953, Place de la Nation. La police a tué 7 manifestants : 6 Algériens militants […]
EvenementsPrise de Parole de Monique DENTAL : ITS et de Soad BABA AISSA : ALGERIADEMOCRACY lors de la commémoration en hommage aux victimes de la répression sanglante du 14 juillet 1953,
Place de la Nation.
La police a tué 7 manifestants : 6 Algériens militants indépendantistes et 1 Français syndicaliste CGT Metallo.
– Nous reclamons la reconnaissance du crime d’Etat
– Nous demandons L’ Algérie de reconnaître leur qualité de résistant ( Moudjahidines)
– Pour le retour des défilés populaires traditionnels du 14 juillet
Le 14 juillet 1953, à l’issue d’une manifestation populaire qui s’achève place de la Nation, l’imposant et pacifique cortège des militants algériens du MTLD (Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques), qui ferme la marche, est brutalement attaqué par la police parisienne. Alors que les […]
Communiqués EvenementsLe 14 juillet 1953, à l’issue d’une manifestation populaire qui s’achève place de la Nation, l’imposant et pacifique cortège des militants algériens du MTLD (Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques), qui ferme la marche, est brutalement attaqué par la police parisienne. Alors que les premiers slogans réclamant l’indépendance algérienne retentissent et que sont brandis des drapeaux algériens et des portraits de Messali Hadj, les policiers parisiens tirent à bout portant sur le cortège des ouvriers algériens qui arrivent sur la place et ont commencé à résister à la charge policière.
Ce massacre d’État, aujourd’hui oublié, fait sept morts : six militants algériens et un militant parisien de la CGT, trésorier de Fédération des métaux du 18e arrondissement. On dénombrera également des dizaines de blessés par balle, essentiellement parmi les militants algériens.
Racisme systémique au sein de la police et domination coloniale forment le cocktail infernal à l’origine de ce massacre. Comme une sorte de répétition macabre, huit années avant celui du 17 octobre 1961. Un homme de l’ordre est déjà à la manœuvre à la Préfecture de police, au poste éminent de Secrétaire général, un certain Maurice Papon…
A l’occasion des 70 ans de cette tuerie, très vite enterrée à l’époque par le pouvoir, comme par les partis de la gauche traditionnelle, il est essentiel de continuer à exiger la reconnaissance de ce crime d’État ainsi que d’en dénoncer tout autant les mécanismes que les responsables.
Objectifs que ce sont assignés le Collectif pour la mémoire du 14 juillet 1953 et l’Association des Ami.e.s de Maurice Rajsfus, qui en est partie prenante.
L’Association des Ami.e.s de Maurice Rajsfus
C’est une séance exceptionnelle qui vous est proposée Dimanche 14 mai 2023 à 11h : « Les balles du 14 juillet », documentaire inédit de Daniel Kupferstein, séance animée par la Ligue des droits de l’Homme. Séance suivie d’un débat avec le réalisateur Daniel Kupferstein et l’historien Alain […]
CommuniquésC’est une séance exceptionnelle qui vous est proposée Dimanche 14 mai 2023 à 11h : « Les balles du 14 juillet », documentaire inédit de Daniel Kupferstein, séance animée par la Ligue des droits de l’Homme.
Séance suivie d’un débat avec le réalisateur Daniel Kupferstein et l’historien Alain Ruscio, animé par Gilles Manceron.
Le 14 juillet 1953, au moment de la dislocation d’une manifestation en l’honneur de la Révolution française, la police parisienne charge un cortège de manifestants algériens, 6 Algériens et un Français sont tués et une centaine de manifestants blessés dont plus de quarante par balle.
Un vrai carnage.
Cette histoire est peu connue en France comme en Algérie.
Cirque Electrique : Hommage aux victimes du 17 octobre 1961 Chanteurs : Fateh Benlala, Sofiane Bachali et Merzak Boudjelouah Ochestre les Bled’Arts . De la politique vers le culturel, après la performance artistique, les lectures de Poésies, les deux tables rondes, textes sociaux et politiques, […]
EvenementsCirque Electrique : Hommage aux victimes du 17 octobre 1961
Chanteurs : Fateh Benlala, Sofiane Bachali et Merzak Boudjelouah Ochestre les Bled’Arts .
De la politique vers le culturel, après la performance artistique, les lectures de Poésies, les deux tables rondes, textes sociaux et politiques, concert .
Exposition peintures : Sally Djeb Exposition pancartes suspendues avec les noms des victimes : Farida Aït Yakoub Présentatrice : Farida Ait Yakoub et Soad Baba Aissa Clôture présentation : Belaid Djamer
Merci à Hervé, Lisa et toute l’équipe du cirque électrique, ainsi que Bernadette Vallée de la librairie Planète IO de Rennes
https://www.facebook.com/algeriademocracyasso
https://algeriademocracy.com/
https://twitter.com/algeriademo
https://youtube.com/playlist?list=PLRkb-MBzjecm61o1Il7gCQ4e52FvfZSsL
Nous appelons à la reconnaissance du crime d’état ! Rencontre , 1er table ronde : sur le massacre du 17 octobre 1961 Ludivine Bantigny Historienne et écrivaine, Fabrice Riceputi Historien et écrivain, Edwy Plenel Journaliste et écrivain, Animée par Samia Messaoudi journaliste et écrivaine Présentation […]
EvenementsNous appelons à la reconnaissance du crime d’état ! Rencontre ,
1er table ronde : sur le massacre du 17 octobre 1961 Ludivine Bantigny Historienne et écrivaine, Fabrice Riceputi Historien et écrivain, Edwy Plenel Journaliste et écrivain, Animée par Samia Messaoudi journaliste et écrivaine Présentation du livre de Fabrice Riceputi : Ici on noya les Algériens.
2ème tables rondes : autour de la situation politique en Algérie Madjid Benchikch docteur en droit et professeur émérite et Malick Ait Aoudia Docteur en psychologie, Animé par Moka Assam.
Déclaration politique : Ghanima Ammour et Abderahim Moussaouer Présentation : Farida Aït Yakoub et Soad Baba Aïssa
Clôture Présentation : Belaid Djamer
Merci à Hervé, Lisa et toute l’équipe du cirque électrique , ainsi que Bernadette Vallée de la librairie Planète IO de Rennes.
https://www.facebook.com/algeriademocracyasso
https://algeriademocracy.com/
https://twitter.com/algeriademo
https://youtube.com/playlist?list=PLRkb-MBzjecm61o1Il7gCQ4e52FvfZSsL
Sous les ordres du préfet de police Maurice Papon et avec la complicité, et le silence du gouvernement colonial de l’époque, la répression policière, raciste, fit plus de 250 morts, jetés.es dans la Seine, plusieurs centaines de blessé.es, des milliers d’arrestations et d’incarcérations d’algériennes et […]
Communiqués EvenementsSous les ordres du préfet de police Maurice Papon et avec la complicité, et le silence du gouvernement colonial de l’époque, la répression policière, raciste, fit plus de 250 morts, jetés.es dans la Seine, plusieurs centaines de blessé.es, des milliers d’arrestations et d’incarcérations d’algériennes et d’algériens.
Soixante ans (60) ans après, nous appelons à la reconnaissance de ce crime d’État, par lequel nos ainés.es sont tombés.es. Comme nous exigeons, 59 ans après l’indépendance, l’arrêt immédiat de la répression et des exactions contre le peuple algérien à travers les arrestations arbitraires et les incarcérations en masse de détenus d’opinion par le bâillonnement de toutes les voix discordantes par le régime algérien, néocolonial.
Soyez présents-es ce mardi 5 octobre à 18h à la place de la République à Paris. Des citoyens-es organisent de 18h à 21h30 un hommage humble d’Octobre 88. Prises de paroles suivies d’un débat avec l’assistance. Exposition octobre 88 ou le rêve démocratique inachevé. Rappel […]
EvenementsSoyez présents-es ce mardi 5 octobre à 18h à la place de la République à Paris.
Des citoyens-es organisent de 18h à 21h30 un hommage humble d’Octobre 88.
Prises de paroles suivies d’un débat avec l’assistance.
Exposition octobre 88 ou le rêve démocratique inachevé.
Rappel des détenus-es du Hirak, Lecture de poèmes.
Moment de recueillement autour de quelques centaines de bougies allumées pour la circonstance.
Programme:
– Exposition photos/textes
-18h40: Prise de parole de Hakim Addad, Atmane Aggoun et Malik aït Aoudia (10 minutes chacun)
-19h10: Témoignages de personnes ayant pris part à octobre 88 – Said Kouadi et D’autres..
-20h00: Allumage des bougies
-Une minute de silence
-Lecture de poèmes par Ghanima ammour
-Témoignages et paroles libres
Algérie ou l’octobre des libertés,
Dans le sillage des mouvements citoyens revendiquant la liberté, la justice sociale et un régime démocratique (1980/1986), Octobre 1988 sonne comme un des rendez-vous les plus importants et les plus marquants de l’histoire de l’Algérie indépendante.
En plein marasme social, au temps du tout unique (pensée, parti, organisations de masses, journaux et autre médias uniques), Octobre 88 arrive pour ébranler les certitudes du régime algérien représenté à l’époque par le président Chadli.
Des Algériens-es, en particulier des jeunes, sortent dans les rues d’Alger et ensuite de l’Algérie entière en ce 5 Octobre pour crier haut et fort leur volonté de changement, tant dans le domaine social que politique.
Le pouvoir, fidèle à ses habitudes et à sa nature, réagit violemment et choisit la répression, des plus féroces pour essayer de faire taire le mouvement populaire en cours. Pour la première fois depuis l’indépendance, l’armée nationale populaire tire sur le peuple, il en résulte des centaines de morts en quelques jours.
La torture est de mise, en ces sombres jours de répression et cela à grande échelle. Des centaines de personnes surtout des jeunes sont arrêtés, interrogés et soumis à la torture comme au « bon vieux temps des colonies ».
La solidarité nationale et internationale s’organise alors pour faire cesser cette pratique immonde par sa dénonciation mais aussi pour soutenir les revendications populaires pour le changement, une vie plus libre et plus digne.
Malgré la féroce répression. Malgré les manipulations du pouvoir et ses relais, il ne peut faire autrement que d’accepter d’ouvrir à minima le champ politique et médiatique de l’époque par la reconnaissance d’associations à caractère politique (descendantes de partis politiques en Algérie) et d’une presse privée se voulant à l’époque plus libre que la presse du régime. Ce fut le début d’une trop courte période appelée par un grand homme politique algérien, « récréation démocratique ». Période de trois ans qui a vu toute l’Algérie se lancer corps et âmes dans l’apprentissage de la pratique politique et de la démocratie, même si ce fut une démocratie imparfaite.
Aujourd’hui, après le nouvel immense mouvement populaire et citoyen du Hirak enclenché en Février 2019, l’Algérie revit une autre période d’espoir-s et de répressions-s.
Parce que notre avenir est fait de la connaissance de notre passé, récent et lointain.
Parce que nous ne voulons pas d’oubli ni perdre totalement nos acquis de 88 .
Parce que nous devons puiser de nos échecs pour construire nos victoires à venir.
Parce que nous voulons rendre hommages aux morts et martyrisés d’Octobre 88.
Parce que nous nous devons de continuer à revendiquer la libération des détenus-es politiques et d’opinions du HIrak qui croupissent dans les prisons algériennes.
Parce que notre volonté de changement de régime est toujours d’actualité et la démocratie notre objectif.
Parce que la voix des Algériens-es doit se faire entendre y compris à l’international.